Décalée à deux reprises, la publication annuelle de l’ex-fleuron technologique révèle une perte nette de 3,4 milliards d’euros, imputable, pour deux tiers, à une charge de dépréciation de l’écart d’acquisition. Atos a par ailleurs ouvert une procédure amiable avec ses créanciers, afin d’obtenir un plan de refinancement de sa dette d’ici juillet. Celui-ci inclura certainement l’émission de nouveaux titres, donc une (...)